Entretien à l'Hôpital...

Nombre de messages : 114 Métier : Infimière Date d'inscription : 24/02/2008

Suzanne avait commencé son travail d'infirmière depuis une semaine et il lui avait été difficile, dasn les premiers jours, de se retrouver dans l'hôpital car il était très difficile de ne pas s'égarer dans les diffèrents couloirs qui se ressemblaient tous. Suzanne avait été étonné devant le nombre de bléssés qui arrivaient chaque jour en urgence, la guerre était passée et pourtant le nombre de personnes malades augmentaient. Suzanne ne savait plus ou donner de la tête, elle aurait voulu avoir dix mains pour pouvoir soigner dix malades en même temps car le temps sur les malades n'arrrangeait pas les choses sur l'état des malades.

Le nombre de malades, de plsu, augmentait car depuis le début de l'année 1920, la peste était entrée à Paris et elle s'étendit de plus en plus dans Paris, tuant de plus en plus de gens.

Suzanne et les différentes infirmières de l' hôpital Notre Dame n'arrivaient pas à guèrir cette maladie car c'était une maladie inconnue en Europe, Suzanne était obbligé de porter un masque pour ne pas se faire contaminer et des gants aussi pour pouvoir toucher les malades mais de plus en plus d'infirmières refusaient de s'approcher de ces malades.

Suzanne, ce matin-là, c'était révéillé de bonne heure, elle vait rendez vous avec une dénommé Lita dont elle ignorait le nom de famille. Elle savit jsute qu'il fallait absolument que l'hôpital se dote d'une secrétaire car les infirmières n'avaient pas le temps de répondre au téléphone car elles étaient déja noyer par la tonne de travait à fournir pour tenter de sauver les malades.

Suzanne attendait la jeune fille dans un des bureaux de l'hôpital qui lui avait été attribué. Elle attendit beaucoup de cet entretien car il lui permettrait de voir tout de suite si Lita povait avoir le poste ou pas, l'aspect relationnel étant le seul nécessaire. Mais, Suzanne n'avait aucun doute sur la question car la jeune fille avait été recommandé par Martial, un de ses grands amis.

Suzanne attendait la jeune fille, se rendant compte qu'elle avait une demi-heure d'avance.

Ce matin, Lita s'était réveillé assez tôt, vers 8h, encore plus excité que la veille. Elle n'avait réussi à s'endormir que quand Martial, qui, l'attention la touchait beaucoup, avait fait très attention pour ne pas la réveiller, lui avait glissé un papier sous la porte. Le rendez-vous était à 10h et, comme elle le rendez-vous n'étais que dans 2h, elle prit son temps de bien se préparer.

Elle fit sa toilette à l'eau froide, mais entièrement pour une fois, elle sortit de son sac une robe, pas neuve mais tout au moins la plus présentable qu'elle avait. Elle se peigna longuement les cheveux et se les attacha pour une fois : elle pensait que dans un hôpital cela serait mieux.

Dans la cuisine, elle prépara rapidement un petit-déjeuner pour Martial qui venait de se réveiller et constata que Thomas était déjà sorti. Enfin, elle sortit tandis que son colocataire lui souhaitait bonne chance. Elle marchait rapidement dans la rue et, enfin elle arriva devant l'hôpital. Elle resta quelques minutes devant cet imposant bâtiment, impressionner.

Enfin, elle osa pousser la porte d'entrer et pénétra en son sein. Lita parcourra dans une espèce d'état second les couloirs uniformes de l'hôpital, écoutant le silence de glace qui n'était troublé que de temps en autre par de voix chuchotées et de gémissants. Le coeur serré elle regarda les horribles blessures de guerre et les grimaces de souffrance des nombreux malades. Elle remarqua bien que les infirmières étaient débordées.

Mais tout à sa contemplation, elle s'aperçut soudainement qu'elle ne savait plus où elle devait aller, bref elle était perdue. Elle dû demander plusieurs fois son chemin, cavaler dans tous les couloirs, ayant peur d'être en retard.

Au bout d'un moment, elle arriva finalement devant la porte tant rechercher. Jetant un coup d'oeil sur la grosse pendule qui était posée sur une table, elle remarqua qu'elle avait dix minutes d'avance. Tant pis, elle frappa à la porte.

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Suzanne était perdu dans ses pensées quand elle entendit frapper à la porte. Elle fut ravie de constater que la jeune femme avait de l'avance car elle avait eu peur en fixant l'horraire du rendez-vous qu'elle fasse louper à la future secrétaire la pause de midi .

Suzanne se leva de son bureau puis alla ouvrir à la jeune femme qui ve,ait d'arriver.
Elle adressa un bonjour à la jeune femme puis la pria de s'asseoir sur une des chaises qui entourait son bureau à l'avance.
Au bout de quelques minutes, elle prit la parole et s'exclama avce une voix douce

"Il me semble que vous êtes la personne que Martial m'a parlé qui postulerais pour le travail d'une secrétaire. j'aime autant vous dire que vous n'êtes pas la première à vous essayer à cette emploi et j'espère que vous n'abondonnerez car toutes les personnes qui ne sont restés dans l'établissement que maximun 10 jours.."

Suzanne s'interrompit car elle avit peur d'avoir parler un peu trop séchement et trop franchement.

Elle adressa à la jeune femme un grand sourire puis reprit la parole avec une voix encore plus douce que précédament.

"Excusez- moi de vous dire les choses franchement mais vous ne devez pas ignorer que le métier de secrétaire n'est pas très facile surtout dans un hôpital, vous verrez que vosu serez parfois obbliger d'être en confrontation avec des malades qui ne sont pas toujours très faciles.Il faudra tout de même leur donner des conseils mais ne vous laissez pas non plus marcher sur les pieds ..."

Suzanne s'interrompit encore une fois puis demanda à la jeune femme

"Vous avez déja travaillé comme secrétaire ou c'est la première fois ? Vous avez déja travaillé ou jamais de votre vie ?"

Suzanne avait demandé cela pour information car elle n'ignorait pas que parfois les gens qui n'ont jamais travaillé sont meilleurs que ceux qui ont déja exercer une profession.
Suzanne laissa parcourir son regard sur son bureau en attendant que la jeuen femme réponde.

Elle entra dans la salle à petit pas avant de s'asseoir tout aussi timidement. Elle l'écouta parler et lorsqu'elle excusa de sa franchise, elle ne put s'empêcher de sourire. En effet, l'infirmière lui faisait penser à Bertille, la cuisinière de son ancien orphelinat. Celle-ci parlait toujours en disant les choses en faces que ce soit un simple enfant où la directrice. Souvent, elle lui offrait quelques friandises malgré qu'on le lui interdise et malgré qu'elle sache que la jeune fille chapardait souvent quelques aliments, elle n'y en avait jamais tenu rigueur. Malheureusement, elle dut partir en province un jour, sa mère étant souffrance. Lita la regrettait toujours mais c'est tout de même avec une bonne impression que Lita répondit :

Je n'ai jamais rien fait de telle mais j'ai prit des cours de lettre et de science... Je pense bien pouvoir m'occuper des patients et je ne craquerais pas aussi facilement...

*Si ce métier me plaît...* ajouta-elle pour elle même dans sa tête.

J'ai vu comment était l'hôpital et je supposes que mon aide ne serrait pas refuser mais j'aimerais savoir quelques petites choses avant... Elle sourit : ça allait être à son tour d'être directe. Le salaire par exemple ainsi du genre de travaille que je devrais effectuer... Et les horaires aussi, devrais-je travailler la nuit ?

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Suzanne regarda la jeune femme en face d'elle, ele lui inspirait plutôt confiance, elle semblait débroulliarde.

Suzanne regarda la jeune femme dans les yeux et elle lui répondit à propos de ces compétences.

"et bien c'est toujours ca d'avoir les bases...vous me semblez une personne en accord avec le travil ...si le travail vous plait, il est à vous. Néanmoins vis à vis de mes supérieurs, je suis dans l'obbligation de vous prendre deux jour par semaine."

Suzanne s'interrompit puis elle reprit la parole en s'éclaicicant la voie

"oui a propos du salaire, le travail est mal payé vous gagnerez environ 70 francs la journée et la nuit vous ne travaillerez pas sauf en cas majeure par exemple deux fois tout les deux mois ...dans ces cas là vous serez payer en conséquence ...Le salaire vous convient t'il ?"

Suzanne s'interrompit et ne put s'empécher de se sentir génée, elle craignait toujours la réaction des interlocuteurs en face d'elle, elle trouvait que dans la médecine, dans l'époque ou elle vivait, on était très mal payée par rapport au travail qui était demandé...ce n'était pas du tout de tout repos et en plus les conditions de travail étaient tout de même rudes.

Elle hésite pendant quelques secondes qui lui parurent bien long. Enfin elle pensa à Martial et à sa promesse de refaire sa vie et avec un sourire qui lui était peu habituelle elle dit :

J'accepte oui ! Je ferrais de mon mieux pour faire mon devoir dans cette hôpital !

Elle trouvait à sa phrase un accent trop patriotique, elle qui n'avait éprouvé aucun sentiment pour cette France qui l'avait laissé livré à elle même encore très jeune mais décida de ne pas en tenir compte. Elle inclina la tête et demanda :

Quand devrais-je commencer ?

Elle jeta un coup d'oeil discret à la pendule qui trônait sur une étagère au fond de la salle. Déjà un quart d'heure était passé ! Elle n'avait pas vu le temps s'écouler. Elle n'avait rien prévu l'après-midi mais elle avait hâte de prévenir Martial. Elle essayerait sûrement de le retrouver vers midi à l'endroit où il avait l'habitude de se poser pour vendre ses toiles.

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Suzanne eut un sourire pour la jeune fille qui venait de dire oui à un poste qui ne serait pas forcément pas facile mais pour autnt très intéressant.

Elle aimait bien cette jeune fille, elle débordait d'enthousiaste et cela plaisait à Suzanne , cela permettrait de mettre du sang neuf dans une équipe qui veillisait de dix ans chaque jour.

Suzanne, après quelle instant, prit la parole

"très bien, vous commencez demain à 8h00, je sais c'est tôt mais il faudra vous habituer....est ce que vous avez des questions ?"

Suzanne attendit que la jeune fille réponde pusi en attendant qu'elle réponde, elle reprit la parole

"vous viendrez devant mon bureau à 8h00, je vous attendrait ici pour vous mener à l'endroit ou nous aurons besoin de vous....ça sera plus simple, je commencerais par vous faire visiter l'hôpital."

Elle secoua la tête négativement à sa question et se rappelant la politesse, ouvrit la bouche :

Non c'est bon, aucune question ! Demain, huit heure, devant votre bureau, aucun problème.

Elle avait déjà hâte d'être à ce midi pour voir Martial mais aussi au lendemain matin pour visiter l'hôpital. Honteusement, elle se sentait comme une petite fille devant un nouveau terrain de jeu. Elle se rappelait avoir fait une remarque semblable un de ces jours qu'elle avait passé auprès de son tuteur. Celui-ci lui avait répondu que voir le monde sous cet angle n'était pas si mauvais que ça. Elle décida donc de profiter à fond de cette "énergie" car peut être dans un futur plus ou moins proche, elle serra lassé de ces murs blancs et uniformes.

Sortant de ses réflexions, elle demanda à Suzanne si elle en avait fini, soulignant que l'infirmière devait sûrement avoir autre chose à faire que de s'occuper d'elle pour le moment.

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Suzanne regarda la jeune fille qui était en face d'elle heureuse qu'elle soit pour l'instant enthousiaste par rapport au travail.

Suzanne espérait que les conditions de travail ne seraient pas trop dures pour la jeune fille puis elle se rendit compte en regardant sa montre qu'il était fort tard et que ainsi elle avait des patients à voir

Ainsi, elle prit la parole en se dirigeant vers la jeune fille

"et bien, c'est parfait , je ne vous retient pas, à demain."

Suzanne se leva puis se dirigea vers la porte pour permettre à la jeune fille de sortir, c'est avec un grand sourire qu'elle serra la main à la jeune fille.

Elle se leva prestement, franchit le pas de la porte, exécuta une petite révérence et dit :

A demain Madame, je serais à l'heure !

Et elle s'en alla en trottinant dans les couloirs. Elle repéra rapidement le chemin depuis le bureau jusqu'à la sortit afin de ne pas se tromper le lendemain. Il ne fallait pas faire mauvaise impression dés le mauvais jour. Elle ressortit de l'hôpital et s'étira au soleil. Elle regarda la grosse horloge : onze heure... L'entretien avait duré moins d'une heure. Elle hésite à ce qu'elle allait faire.

[On passe directement à demain ? ]

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(oui pas de souci je crois qu'on peut)

Le lendemain, Suzanne attendait sa jeune recrue derrière son bureau comme à son habitude sauf que là elle était en train de lire la fiche maladie d'une personne qui avait apparament une nouvelle maladie. Cela s'était déclaré vers mimnuit et elle avait été appelé en urgence.

Mais, elle avait été surprise en entrant dans la salle d'opération car un mosieur q'elle ne connaissait pas était présent. Il se disait s'appeler Mr durand et se présenta comme un spécialiste d'une nouvelle maladie qui se développait depuis le début de l'année et qui touchait de nombreuses personnes, apparament, c'était une maladie facilment transmisble.

Il avait conseillé à tout les medecins de se protéger la bouche avec ce qu'il pouvAit et porter des gans pour éviter d'être contaminé.

Suzanne espérait trouvée un moyen de vaincre la maladie ainsi elle lisait la fiche de son patient et le dossier que lui avit remis le spécialiste pour connaitre plus précisément la maladie et ainsi peut-être la vaincre plus facilement.

Lita arriva à l'heure prévu, c’est-à-dire huit heure. Elle était toujours un peu ensommeillée, mais la marche dans le froid matinal l'avait quelque peu ravivée. Elle poussa la porte d'entrer et trouva plus facilement que le jour précédant le bureau de Suzanne. Elle frappa à la porte et entra sans hésiter. Elle y trouva Suzanne, plongée dans sa lecture. Elle s'approcha du bureau à petit pas et dit d'une voix faible:

Bonjour. Je viens... pour le travail... Que dois-je faire ?

Elle se tue en se demandant effectivement ce qu'elle allait faire aujourd'hui. Elle regarda Suzanne qui avait l'air fatiguée comme si elle n’avait pas ou peu dormit. Puis ses yeux descendirent sur le dossier qu'elle tenait mais n'arriva pas à lire le nom qui était inscrit sur la couverture. Au-dessous de l'écriture, un tableau était collé et ou certaines cases étaient remplies de chiffres et d'indication que, comme le nom, elle n'arrivait pas à lire. Tout cela la rendait très curieuse, se demandant à quoi cela pouvait servir, ne connaissant que très peu de chose de la médecine. Elle ravala ses questions, de peur de paraître impolie. De plus, elles devaient sûrement avoir une tonnes de chose à faire dans l'hôpital à cause du manque de personnel.

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(excuse pour le retard ...mais j'avais des examens)

Suzanne restait le nez dans son dossier, elle n'avait pas vu la jeune fille tellemnt elle était plongée dans son dossier.

Elle se mit, donc, à sursauter quand la jeune fille lui adressa la parole car Suzanne ne l'avait pas non plus entendu entrer.

Suzanne lui adressa un sourire puis elle lui répondit

"oh bonjour , vous allez bien depuis hier....oui et bien pour le travil, je vais vous conduire dans votre lieu de travail pour ce matin, cet après-midi je vous ferais visiter l'hôpital mais ce matin je suis prise toute la matinée je dois aller voir des patients."

Suzanne emmena la jeune fille dans un petite pièce qui n'était composée que d'un simple burreau et d'une armoire remplie de dossier

"voila je voudrais que vous classiez ces dossiers par ordre alphabétique pour que je puisse ensuite chercher les dossiers des patients plus vite. Je susi désolé de vous inposer ce travail qui ne me paraît pas passionnant mais vous verrez cette après-midi ça sera plus intéréssant, vous vous occuperez des patients directement. Est-ce que vous avez des questions avnt que je retourne auprès de mes patients ?"

[S'cuse du loong looong loong retard T_T ]

La jeune fille hocha la tête lorsque Suzanne lui confia ce qu'elle devait faire. En effet ce n'était pas un travaille passionnent mais elle savait que c'était des choses à faire et elle s'en accommoderait.

Non c'est bon, je m'en charge tout de suite !

Et aussitôt elle s'attela à la tache. Elle ouvrit l'armoire et sortit quelques dossiers. Au début elle s'y prit un peu de façon désordonné et très vite elle s'y perdit. Elle ne savait plus ce qu'elle avait trié, ce qui restait à trié et souvent les deux finissaient mélanger. C'était un vrai casse tête.
Finalement elle changea de technique, elle prit des morceaux de papier et écrivit les lettres de l'alphabet dessus, posant un papier sur chaque tas. Le bureau n'étant pas très grand, elle dut se lever et se servir de son siège comme repose dossier.
Ce premier grossier triage effectuer, elle s'entreprit à trier les noms à l'intérieur même des lettres. Drianes venait après Dreno et ainsi de suite... C'était un travaille long et fastidieux et elle espérait que ceux qui passeront prendre les dossiers auraient la bonté de les remettre comme ils l'avaient trouvé. Malgré tout cette tache minutieuse lui faisait du bien et elle avait besoin de rester concentrer, ce qui empêchait ses pensées de vagabonder.
Enfin elle eut terminer et regarda sa besogne accomplie avec un sourire de satisfaction. Elle rangea tout les dossiers dans l'armoire, où elle avait d'ailleurs profiter pour passer un coup de chiffon vu l'état de crasse dont étaient les étagères.
Enfin elle sortit du petit bureau qui était étouffant, alla se laver les mains et se passa de l'eau fraîche sur le visage. Puis elle se mit à chercher Suzanne dans l'hôpital, demandant à ceux qu'elle croisait sur son passage. Mais beaucoup ne lui répondait que d'un hochement d'épaule et les autres répondait rapidement qu'ils l'avaient vu il y a une heure et que désormais elle avait du changer d'endroit. Elle allait abandonner et retourner dans le bureau en attendant qu'elle vienne quand enfin elle la vit, en train de parler avec un vieil homme.
Elle s'approcha mais resta en retraite, poliment pour ne pas déranger la conversation surtout qu'elle semblait être d'ordre médicale.

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Suzanne était en pleine discution avec un viel homme qi s'inquiétait pour l'état de sa femme qui avait été transporté à l'hôpital dans un état critique suite à une brûlure, elle s'était brûler alors qu'elle mettait de bois dans la cheminée de sa maisonnette.

Suzanne explica son diagnostique au viel homme puis elle lui dit qu'il ne fallait pas qu'il s'inquiète, sa femme était hors de danger mais il ne fallait pas qu'il s'attende à ce que les brûlures de sa femme disparaissent, elle les garderait à vie.

Le viel homme ne voulait pas lâcher Suzanne car il semblait pris de folie du au choc qu'il avait vécu en entendant sa femme criée comme si elle allait mourir dans la minute qui suivait, c'est alors que Suzanne aperçut Lita qi vait déja fini son, travail, Suzannne n'en revenait pas de son efficassité.

Elle lui dit, donc

"vous avez déja fini votre travail, vous êtes tout simplement géniale !!!
est ce que ça serais trop vous demander de donner un tranquilisant à cet homme, il a subit un très gros chos, je suis désolé je en peux m'occuper de lui, j'ai encore trois personnes à examiner ?"