A la recherche d'un peu de calme...

Nombre de messages : 202 Métier : artiste Date d'inscription : 09/03/2007

Martial s'était lever tôt ce matin là. Il voulait trouver un peu de calme avant de se mettre à étaler ces toiles près du quai.

Il se dirigea donc vers une destination inconnue et se mit à vagabonner dans les rues sans but précis.

Il arriva donc vers les halles et il eut soudains, l'envie de faire quelque course pour remplir le frigo en ce moment un peu vide de l'appartement.

Il y avait pas grand monde en cette heure du matin, Martial regarda alors sa montre et constata qu'il était 7 heures du matin.

Il se dirigea vers le poissonnier et comme d'hanitude il constata qu'il n'avait pas assez d'argent pou acheter du poisson.

Il soupira et se dirigea vers l'étalage de fruits ou il acheta trois pommes et attendit car Martial adorait regarder les diférents types de gens qui fréquentaient ce lieu.

Flora fonça vers l'étage aux fruits, bousculant tout ce qui pouvait la ralentir.
Le cuisinier en chef du Fouquet's lui avait, pour la première fois, confier une "mission".
Bien que peu glorifiante et inapropriée à son poste actuelle, elle comptait l'a menée à bien. Ignorant la queue, elle ne fit pas attention aux commentaires et aux plaintes.
Elle tendit un morceau de papier chiffoné au marchand.
Ne lui laissant pas vraiment le temps de lire, elle ajouta essouflée :
"- Maintenant, il me les faut maintenant. Mon job est entre vos mains mon Bon monsieur."
L'homme interpella un jeune et lui demanda trois caisse d'oranges.
-" Bien mûres ! s'exclama la cliente, esperant se faire entendre par le jeunot.
- BIEN MURES TU ENTENDS !
Le garçon apporta à trois reprises trois caisses. Flora ecarquilla les yeux
* Oh mon dieu, mais elles sont énormes ces fichus caisses !*
La demoiselle tendit une liasse de billets de 20 francs. Les oranges sont chères
. Le marchand passa directement au suivant, Flora se sentit abandonnée. Elle se baissa et tenta de soulever les trois caisses.
Ses talons n'étant pas du même avis, elle tituba...

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Martial resta planter devant le stand de légumes, il réfléchissait au fait qu'il devait peut-être acheter quelques légumes et quelques fruits pour remplir le frigo qui comme d'habitude, était vide.

Il s'adressa donc, à un marchant, d'une voix forte pour se afire entendre car les halles accueillaient de plus en plus de monde et un brouhaha se afisait entendre.

"Bonjour, je voudrais un kilo de tomates et un kilo de carottes. Je vous remercie d'avance."

Martial, ayant acheter ses tomates et ses carottes, allait partir quand il aperçut une jeune fille qui sembalit en grande difficulté.

Il s'approcha d'elle et lui demanda d'une voix qu'il voualit posée.

"Bonjour, mademoiselle. Vous me semblez un peu en difficulté. Avez vous besoin d'aide car je crains que vous cassiez un de vos talons, ca serait dommage, ils vous vont très bien.."

Martial s'interrompit, craignant, de passer pour quelqu'un de drageur.

Flora releva la tête, sourit poliment en remettant ses quelques mèches derrière ses oreilles.
Ce matin elle n'avait eut le temps que de se faire un simple chignon et de mettre un chapeau bleu, ou blanc, quoique...
De toute manière son service de commencait seuleument dans deux heures.
Sans prendre le temps de détailler son interlocuteur, la jeune serveuse lui imposa deux caisse empilées d'oranges.
Elle-même en prit une et se dirigeait vers une sortie.

" Suivez-moi, vite !"

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Martial attendait la réaction de la jeune fille en regardant tout autour de lui l'animation qui régnait quand la jeune femme lui imposa une de ces caisses d'orange et l'entraîna sans lui demander son avis vers la sortie.

Martial étant dehors essaya de suivre la jeune fille des yeux pour ne pas la perdre car il y avait du monde à l'extérieur des halles.

Martial s'arrêta brusquement devant les halles et demnada à la jeune fille

"excusez moi ou est ce qu'on va comme ça , que c'est t'il passé et pourquoi nous sommes nous enfuit de cette manière et ou allons-nous maintenant"

Martial avait dit tout ça d'une traite tout en soufflant après la fuite qu'ils avaient fait.